Yeleyna RP

[Périgueux, à l'aube]

De sa vie monacale, la brune avait gardé quelques habitudes qu'elle tentait de mettre au profit de sa vie de paysanne. Pendant quelques temps elle avait réussi à se coucher et se lever en même temps que ses poules, ce qui lui permettait de s'en occuper correctement et de manger régulièrement des omelettes baveuses à souhait. Sauf que... les bonnes résolutions s'étiolent trop facilement après un verre en taverne...

Bam Bam Bam

Oui les poules, j'arrive... 'tain.
Sauf que les poules n'ont jamais tapé à une porte avec une canne à bout ferré dès potron minet. Ça, ça sentait plus le contrôleur des impôts. C'est donc avec un visage qui tenait de tout sauf de la grâce et de la joie de vivre qu'elle ouvrit la porte. Pour voir un petit homme tout ridé, sec comme un pruneau et les cheveux plus blancs que blancs. La thèse du contrôleur se confirmait de minutes en minutes...

Dame Gadzelle, c'est vous?

Ouais...

Ce fut l'avalanche.
L'orage grondant au loin.
Les coups de tonnerre.

Un balbutiement, deux, le regard fixe quand il se tourne vers les papiers dans les bras, vague quand il essaie de comprendre ce que dit l'exécuteur. Des bribes de mots parviennent malgré tout à sa conscience et ne font qu'accentuer son trouble. Elle releva sa tête pour enfin poser la question cruciale :

Mais pourquoi ... pourquoi Gadzelle, pourquoi maintenant, pourquoi ne revient-elle pas puisqu'elle l'a fait une fois, pourquoi avait-il fallu qu'elle ne soit pas là...

Il était déjà parti et le jour se levait. Ses jambes flageolaient, elle ne pouvait aller loin. Lourdement, la jeune femme s'assit à même le pallier, le regard fixant le soleil doré du petit matin, les larmes aux yeux. Il lui fallut de longues minutes pour trouver le courage de lire le pli qui lui était adressé.

Gadzelle dut relire plusieurs fois le courrier. Les mots dansaient devant ses yeux, dans le désordre et accompagnés des souvenirs qu'ils appelaient. Un homme blond, aux yeux plus verts que les émeraudes, ravagé dans une taverne quand il avait appris la nouvelle. Une femme aux cheveux d'ébène, aux lèvres rouges et riant souvent, les yeux fermés devant le repos presqu'éternel. Deux roses entrelacées. Et un bébé... un nourrisson avec déjà une crinière noire sur la tête, qui devant ses yeux se transforme en fillette, puis en jeune fille. Des yeux verts comme son père, des cheveux noirs comme sa mère. Et un tempérament de feu.

La valse s'arrêta sur deux images distinctes. Le cercueil qui se refermait sur Key, et la dernière image qu'elle avait de sa fille.
Elle lut enfin la lettre d'une traite.

Le jour était bien avancé quand enfin la brune se leva et s'assit à son bureau. Elle avait plusieurs lettres à écrire.

[Un peu plus tard, une taverne sans importance]


Après un énième voyage à sa recherche, je retombe sur le même sentier, qui me mène au même village. Peu importe lequel, il ne me sert que de point de chute pour poser mes affaires et éventuellement pour recevoir du courrier. Ce n'est pas dans les hameaux que je me rends que les lettres vont me trouver.

Une fois la porte poussée, je retrouve les mêmes odeurs de bière, de paille rance pas très propre pour couvrir le sol, de transpiration aigre. Un bouge comme un autre, à ceci près que la patronne me connaît de vue.

Comme d'habitude mon tout brun ?
Une tisane, et un plat.
C'est ça ! Monte dans ta chambre, je te prépare tout ça et un bain chaud dans l'écurie. Au fait, t'as enfin reçu du courrier ! J'croyais qu'tu disais ça pour me charrier qu'on t'écrirait, ça fait un bail la dernière ! Et là paf deux d'un coup ! Z'êtes un veinard vous savez ?
Quand ? Les coursiers, partis ?
Bah oui, y a deux et trois jours l'sarrasin. T'as du retard !

Rhaaa ! Leurs écritures. La sienne.
En plus de n'avoir servi à rien, la dernière expédition m'avait fait manqué la plus belle chance de la retrouver. La grosse tenancière n'aura surement rien compris au regard dur que je lui lançai, mais je m'en veux tant ! Les marches sont avalées, il faut que je sois seul pour me concentrer. Non pas sur la lecture, depuis le temps j'arrive à lire aussi bien leur écriture barbare que la mienne, mais sur les contenus et les décisions à prendre.

Citation :

Azeem,
Mon ami le  plus cher, mon frère,

Comment vas-tu ? Arrives-tu à trouver la rédemption dans ton parcours, es-tu enfin apaisé ?

Je me souviens avant l'été t'avoir envoyé mon dernier courrier. Je t'avais promis de ne pas retourner m'enfermer sans te prévenir. Ne t'inquiète pas, ce n'est pans dans mes projets. A vrai dire je ne t'écris pas pour moi, pas tout à fait. J'ai reçu des nouvelles de la mère de la petite. C'est étrange n'est-ce pas ? Elle a su me trouver dans la mort, même si je n'y étais pas, pas loin. Je suis son exécutrice testamentaire, et tu t'en doutes, elle n'a pas oublié sa fille. Je ne sais toujours pas comment l'expliquer mais les rumeurs étaient fondées, Key était revenue. Ne lui dis rien... elle l'a peut être appris par elle même, mais c'est à moi de lui expliquer que encore une fois, je l'ai éloignée de sa mère.
L'as-tu retrouvée ? Pourras-tu lui expliquer que sa mère souhaitait sa présence ? en dernier recours, parle-lui de son père... Il est aussi cité, peut être qu'il sera là.

Je t'en prie, ne te perds pas toi même dans cette quête insensée que tu t'es imposée et tiens moi au courant.
Tu sais comme je l'aime... Ne lui dis rien.

A toi,

A. Gadzelle.

Oh non je ne lui dirai pas comme tu l'aimes, et pourtant j'ai vu les abîmes dans lesquels cet amour t'a plongé. Vous avez toutes les deux vos tords et vos raisons. Vous êtes ma famille. Pourtant je ne sais toujours pas où la trouver, où lui envoyer de tes nouvelles. Peut être que la lecture du second courrier m'aidera, c'est celui là que j'attendais le plus, mes mains tremblent à décacheter la cire sans sceau.


Mais quel abruti ! Ça y est, elle a 14 ans. La fleur de l'âge ou presque, elle grandit et je ne suis pas là pour la protéger... Elle va m'étriper. Non, elle ne le fera jamais. Elle va encore se refermer sur elle même et on va la perdre pour des mois et des mois. Peut être pour jamais. De toute manière, je ne la laisserai pas m'étriper, je le ferai moi même avant. Il faut que je relise ce courrier. D'abord le déplier correctement, je l'ai roulé en boule dans ma main crispée sans m'en apercevoir...

Un homme plus vieux. Se pourrait-il qu'elle souhaite consciemment me voir souffrir ? Non, Gadzelle peut-être, mais pas moi. Elle doit vraiment être amoureuse... Ne pas la brusquer mais lui dire la vérité.

Citation :

Ma fleur sauvage,

Ton courrier m'a fait tellement plaisir et tellement peur à la fois. Plaisir de recevoir enfin des nouvelles, après t'avoir si longtemps cherchée. Peur parce que tu me manques, parce que j'ai peur pour toi et que je ne cesserai jamais d'avoir peur que tu souffres ou que tu trembles.

Tu ne voulais pas grandir... Mais comme tu dois être resplendissante maintenant ! Cet homme dont tu parles a bien de la chance de pouvoir t'admirer, mais s'il ne te dit que l'évidence même, mérite-t-il vraiment tes attentions ? Prend garde à bien t'entourer, et que ce qu'il t'apprenne reste courtois. S'il va plus loin j'irai le chercher jusqu'au bout du monde pour le pendre par toutes sortes d'organes sensibles.

J'aurais aimé pouvoir t'écrire simplement pour prendre de tes nouvelles, m'assurer que tu vas bien et que tu es heureuse là, quel que soit cet endroit que tu as choisi... mais le destin en a décidé autrement.
J'ai eu des nouvelles de ta tutrice.

Je sais que tu es déjà en train de lever les yeux au ciel mais elle a besoin de toi. Pas pour elle, non, pour ta mère. Elle a reçu un papier, un testament. Dessus, ta mère a couché ses derniers souhaits. Tu t'en doutes maintenant, tu faisais partie des personnes chères à son cœur et il faudrait que tu ailles à la lecture du testament, il n'y aura que des gens qui ont compté pour ta mère. Ne souhaites-tu pas les connaître ?
Si tu ne veux toujours pas y aller, je sais que ton père y sera certainement. Ne le cherchais-tu pas ?

Je serai là pour toi, personne ne te forcera à rester là bas, j'y veillerai. T'ai-je déjà menti ?

Une caresse à Souricette, il me manque aussi.

Des caresses pour tes cheveux, des bisous pour le bout de tes petits doigts qui doivent avoir grandi, et un dernier pour le sommet de ton crâne avant la nuit.

Nounou 'zim

L'écriture m'avait vidé de mes forces, savoir qu'un homme la fréquentait sans que je puisse veiller sur elle m'avait noué l'estomac. Une tisane et un bain mais je n'avais pas le goût d'avaler quoi que ce soit. Je redescends donc voir la patronne.

Le coursier, il vient souvent ici ?
T'nez voilà vot' repas. Mangez un peu, vous êtes tout blanc. 'fin façon de parler hein...
Le coursier ?
Oh ben oui, toutes les semaine à peu près.
Bon, j'attends. Et de s'assoir au comptoir.
Comment ça, ici ? Sans bouger ?
Oui. Je dois le suivre.
Mais il donnera votre courrier pour vous hein ?
Je le sais, je dois le suivre de loin.

[Périgueux, quelques jours plus tôt]


Ecrire... que pouvait-elle dire à ces personnes ? Comment calmer ses émotions et être rationnelle dans ce qu'elle allait coucher sur le parchemin ? Elle n'en connaissait pas certains, comment les trouver ?

A commencer par le plus dur à écrire.

Citation :

Azeem,
Mon ami le plus cher, mon frère,

Comment vas-tu ? Arrives-tu à trouver la rédemption dans ton parcours, es-tu enfin apaisé ?

Je me souviens avant l'été t'avoir envoyé mon dernier courrier. Je t'avais promis de ne pas retourner m'enfermer sans te prévenir. Ne t'inquiète pas, ce n'est pans dans mes projets. A vrai dire je ne t'écris pas pour moi, pas tout à fait. J'ai reçu des nouvelles de la mère de la petite. C'est étrange n'est-ce pas ? Elle a su me trouver dans la mort, même si je n'y étais pas, pas loin. Je suis son exécutrice testamentaire, et tu t'en doutes, elle n'a pas oublié sa fille. Je ne sais toujours pas comment l'expliquer mais les rumeurs étaient fondées, Key était revenue. Ne lui dis rien... elle l'a peut être appris par elle même, mais c'est à moi de lui expliquer que encore une fois, je l'ai éloignée de sa mère.
L'as-tu retrouvée ? Pourras-tu lui expliquer que sa mère souhaitait sa présence ? en dernier recours, parle-lui de son père... Il est aussi cité, peut être qu'il sera là.

Je t'en prie, ne te perds pas toi même dans cette quête insensée que tu t'es imposée et tiens moi au courant.
Tu sais comme je l'aime... Ne lui dis rien.

A toi,

A. Gadzelle.

La cire cacheta le parchemin tandis que Gadzelle avait le regard vague, portant au loin vers un endroit qu'elle ne pouvait voir. Dans cet endroit elle y voyait une petite fille pleine de vie, rieuse et illuminant tout ce qui l'entourait. Et ceux qui l'entouraient. Sa source de lumière lui manquait terriblement.

Ensuite, elle choisit d'écrire à ceux qu'elle connaissait. Ce n'en était pas moins difficile.

Citation :

De : Gadzelle

Yira,

Je ne sais si tu te souviens de moi. A vrai dire, les dernières fois que nous nous sommes vus, sont des souvenirs trop douloureux pour se les remémorer avec aisance.
Je sais que tu ne souhaitais pas en avoir et jusqu'à présent j'ai respecté tes choix, mais j'ai des nouvelles à partager. J'ai reçu des nouvelles de Key... J'ai son testament près de moi. Je ne l'ai pas ouvert, je vous attends tous pour le faire, mais dans une lettre qu'elle m'a laissée, je sais qu'elle te nomme. Il y a un pli cacheté pour toi aussi...
Seras-tu là ? J'aurais aimé te revoir, créer d'autres souvenirs, d'autres images.

Ta fille.
Yeleyna a pris la route, pour trouver la sienne. Elle te cherchait, je crois savoir qu'elle ne t'a pas encore trouvé. Je dois te prévenir, elle sera peut être là, peut être pas. J'ai fait des mauvais choix et elle m'en veut terriblement, au point de me priver de sa présence...

Si ta décision est de venir, je t'attends à Périgueux.

Toute mon amitié,


Gadzelle

Elle pensait chacun des mots écrits, mais il était difficile de trouver les bonnes tournures pour qu'ils soient tous d'accord pour venir. Certains viendraient avec plaisir, d'autres à reculons. D'autres peut être pas du tout.

Citation :

De : Gadzelle

Votre Altesse,

Je ne vous écris pas au nom d'une quelconque fonction que je pourrais ou que vous pourriez avoir, mais au nom d'une amie commune.
J'ai reçu comme mission d'exécuter le testament de Keyfeya, qui vient d'être transmis entre mes mains.
Je ne l'ai pas lu et j'attends pour cela la présence de toutes les personnes concernées, vous en faîtes parti.

Souhaitez-vous être présente ? Si ce n'est pas le cas, je vous ferai part de ce qu'il en est. Si c'est le cas, quelle date vous conviendrait ? Sachant que ce sera à Périgueux, dans ma demeure.

Je vous connais encore mal, mais j'ai une confiance aveugle dans les choix de Key... De plus, ce que j'ai pu observer de vous me plaît, je me permets donc de saluer ainsi

Avec tout mon respect,

Gadzelle.

Leyah... une personne qu'elle n'avait jamais voulu connaître, mais le passé est le passé. Il y avait longtemps qu'elle avait réussi à faire table rase.

Un sourire fugace vint fleurir sur ses lèvres. Confucius, elle l'avait rencontré sur Périgueux. C'était même elle qui l'avait fait entrer à la COPA en tant que connétable, un poste qu'elle avait tellement apprécié... Pour toutes les rencontres tissées.

Citation :

De : Gadzelle

Confucius,

Vous souvenez-vous de moi ? Nous nous sommes croisés il y a quelques années à Périgueux et à la COPA. Je viens à vous car une personne que nous avons connu tous deux m'a laissé une tâche à accomplir. Keyfeya m'a nommée exécutrice testamentaire, et je sais qu'elle vous a cité dedans, même si je ne l'ai pas ouvert.

La lecture du testament se fera sur Périgueux, la date n'est pas encore fixée. Serez-vous là ? Si la réponse est négative, je vous transmettrai son contenu et vous ferai parvenir ce qui vous revient si tel est le cas.

Je me vois désolée de peut être vous rappeler des souvenirs difficiles.

Dans l'attente de votre réponse, cordialement,

Gadzelle.

Le dernier courrier demandait plus de tact. Comment convaincre une personne qu'elle ne connaissait pas ? En lui donnant une preuve. Beaucoup de monde avait connu Keyfeya, la plupart en tant que comtesse ou lors de sa seconde vie dans le Périgord. Peu de monde possédaient une mèche de ses magnifiques cheveux reconnaissables.
Gadzelle s'étira et alla chercher sa besace laissée dans sa chambre près de son lit. D'une jolie bourse faite d'un joli cuir ouvragé, elle sortit une mèche de cheveux bruns, entourée de deux rubans : l'un rouge, l'autre blanc. Cette bourse et son contenu étaient pour Yeleyna, mais elle pouvait sacrifier quelques cheveux pour sa mission. Elle en prit 4 et les posa devant elle, sur un parchemin vierge. Le regard fixé sur eux, elle réfléchissait à ce qu'elle allait ajouter.

Citation :

De : Gadzelle

Le bonjour Lorick,

Nous ne nous connaissons pas, mais vous avez peut être reconnu les cheveux pris dans la cire au bas du parchemin : ceux de Keyfeya.
C'était une amie qui m'était chère, la plus proche que j'ai pu avoir. Je ne connais pas votre histoire, mais je vais vous résumer la notre : elle m'a accueilli à Périgueux, nous étions des amies très proches à partager des rires et de la joie dans les tavernes ou dans la ville. Peu après, elle est décédée en couches, laissant un vide difficilement surmontable. Même si ce n'est pas la seule chose dont j'ai hérité...
J'ai appris par la suite qu'elle était revenue, alors que j'étais en retraite. Les voies du seigneur... Je pense que c'est à cette période que vous l'avez connue.
Tout ça pour quoi êtes-vous en train de vous demander ?
Je viens de recevoir la visite d'un notable, je suis l'exécutrice testamentaire de Keyfeya. J'aurais aimé pouvoir vous remettre un pli cacheté en mains propres et vous recevoir chez moi pour la lecture du testament. Pensez-vous pouvoir venir ? J'habite Périgueux, là où tout a commencé.

Dans l'attente de vous lire à défaut de vous rencontrer,


Gadzelle.

p'tain mais vous avez bu




Elio : moi aussi mais Nabeille ne veut rien entendre
Gadzelle : j'aurais espéré.
Gadzelle soupire
Elio : je doute y echapper
Elio : et une guerre qui s'annonce
Gadzelle : au moins, vous le voyez. c'est *hips* déjà ça.
Elio : on a tout de meme deux personnes en moins
Gadzelle sourit
Elio : de participer aux echanges qu'il poura y avoir, je sais, là...c'est un peu bancal
Gadzelle : de tous mes conseils.
Gadzelle : d'accord. jusqu'à présent, je n'ai rien dévoilé.
Elio : j'attends de vous de rapporter les decisions comtales mais sans en devoiler les discussions
Gadzelle : ah mais je me laisse toujours aller en taverne.
Elio : là c'est...*sourit en coin* un peu particulier
Gadzelle : ouais, j'essaierai de ralentir *hips* la boisson.
Elio : vous savez manier les mots enfin habituellement
Gadzelle grommelle contre ses hips
Gadzelle : *hips* assez intéressant ?
Elio : en plus vous ne manquez pas de parler et vous avez un niveau assez interessant de communication
Gadzelle : que je sache *hips* à quoi m'attendre.
Gadzelle : pour vous, c'est quoi être Porte Parole ?
Elio : notere porte parole
Elio : Vous allez avoir de quoi si vous l'acceptez
Gadzelle : ça *hips* j'avais compris.
Gadzelle se marre
Gadzelle : et *hips* j'ai pas trouvé en quoi, alors je tourne
Elio : oui, y'a des choses qui peuvent facilement m'agacer et je n'sais utiliser la diplomatie
Gadzelle : moi c'que je veux, c'est être utile.
Elio : je pense oui qu'il y a des malentendus
Gadzelle : j'ai essayé d'être polie, *hips* mais je n'ai pas trop *hips* aimé me faire gueuler dessus.
Gadzelle : mon p'tit papier, c'était au cas où je ne vous *hips* voyais *hips* pas, et je serais partie.
Gadzelle : nous *hips* n'avons pas le même caractère et *hips* pas les mêmes attentes.
Gadzelle : alors, je me rends compte que nous sommes partis sur un mauvais pied.
Elio : honneur aux dames
Elio : Nan allez y
Gadzelle : oui.
Elio : vous avez les idées claires tout d'meme ?
Gadzelle : bah ouais.
Elio : p'tain vous avez bu !
Elio se met en face du coup
Gadzelle : j'vou slaisse commencer ?
Elio : et bien moi aussi
Gadzelle maudit Do pour les hips
Gadzelle : ça tombe *hips* bien j'aimerais vous parler en face à face.
Elio sourit legerement
Gadzelle : B'jour comte.
Elio : bonjour à vous
Elio entre dans la taverne.
Gadzelle : et qu'on s'autorise.
Gadzelle : on a *hips* les distractions qu'on peut.
Gadzelle : alors dans *hips* l'ordre, nan, nan, c'quoi une notable ? sinon *hips* oui. avec mes poules et mon âne.

Gadzelle : (nan. par contre *hips* je *hips* reconnais qu'elle *hips* peut être chieuse !)
Elio : )
Elio : oui enfin le coulez pas trop sinon il va grogner encore
Gadzelle : (je peux me servir de *hips* bout de conversation en taverne sur *hips* la focntion de PP *hips* pour la réponse en gargote ?)
Elio : (mais j'assume qu'il ne plaise pas faut le connaitre)
Elio : (sinon je dis pas c'est un con !)
Elio : (oui il sait que là y'a gros à jouer ^^)
Gadzelle : (quand on *hips* voit comment il est ailleurs ! *se marre*)
Gadzelle : (moi *hips* j'admire le *hips* sang froid d'Elio *hips* dans *hips* sa rencontre avec elle)
Elio : (surtout qu'elle sait pas garder ses rea
Elio : (je ne vais pas lire ce qui se passe à casti elle pourrait faire de meme)
Elio : (sont penibles ils assument pas leur role...ça se chie dessus et ça cherche la detail...)
Elio : (tout comme les mots d'Elio elle a pointe les pensées de mon perso "ces gens là" je lui ai dit ok mais vous ne pouvez jouer de ça)
Gadzelle : (je ne sais pas ce que *hips* Arhya lui *hips* dit. je *hips* pense que l'intérieur de la copa est le plus sur)
Elio : (je lui ai dit de ne reagir qu'en fontcion de ce qu'elle doit savoir
Elio : (autant qu'elle surveille qui va en copa..chancellerie...elle doit avoir des indics aussi)
Gadzelle : *hips* (et *hips* ça, ça *hips* me gave particulièrement)
Elio : quelqu'un a du le lui dire (et oui certains joueurs sont pas très reglos...)
Gadzelle : ce n'est pas normal.
Gadzelle fronce les sourcils
Elio : de tout ce que vous avez pu ecrire
Gadzelle : elle n'a *hips* pas *hips* quitté ma main *hips* et ensuite la votre.
Elio : elle m'a parlé de votre avis sur le conseil, de la copa
Elio : lle*
Gadzelle : comment ça ?
Gadzelle (rhaaaaaaaaaaaaaaaaaa)
Elio : mais votre lettre bien que personnel a été utilisée dans mes echanges avec Naberille c'est ce qui m'a un peu agacé
Gadzelle : *hips* pour le *hips* recrutement de la COPA, il *hips* y *hips* a quelqu'un de désigné *hips* ?
Elio : Et bien spiel pour sa fonction n'a quele versement à faire on gère le reste
Gadzelle (j'attendais de vous voir pour en parler.)
Gadzelle (du coup je ne voyais pas trop comment il pouvait gérer sa fonction comme ça, ne serait-ce que d'être simple conseiller...)
Gadzelle (pour ma remarque sur les conseillers absents, il y avait aussi que je suis moi, joueuse, inquiète de ce que m'a dit le joueur de Spiel en taverne : qu'il ne voulait plus aller sur les forum.)
Gadzelle : *hips* il est bizarre ce gars.
Gadzelle : il faudrait qu'on en ait plus.
Dorian. sort de la taverne en grommelant et claque la porte.
Gadzelle : *hips* bonne route
Gadzelle lui adresse un clin d'oeil
Dorian. s'tire sourire en coin
Elio : elle me soutient que 25 voix pour sont representatives de leur choix
Gadzelle : oui. mais il faut faire très vite. Deux *hips* jours seulement.
Dorian. : ou bien adieu
Elio : comme elle
Gadzelle : salut Dorian !
Elio : au revoir
Elio : un sondage
Dorian. : aur'voir
Elio : on peut essayer
Gadzelle : et si on leur montrait que tous les habitants du *hips* PA veulent *hips* leur *hips* retour ?
Elio : seuls eux peuvent empecher le sang de couler
Elio : nous sommes là à attendre leur retour
Elio : la situation est irréversible la faute à qui ?


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Le RP "Ascendance et Descendance" sur le forum2, arpenteurs, se déroule ici :

http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=17485022#17485022

Si vous me répondez par courrier IG, est-ce que je pourrai le faire paraître dans le RP ?